Bruno Retailleau : « Les Républicains sont prêts à gouverner »

Titelbild
Bruno Retailleau, président de LR. (THOMAS SAMSON/AFP via Getty Images)
Von 7 octobre 2025

Le président des Républicains, Bruno Retailleau, a affirmé mardi qu’il ne fermait pas la porte à un retour de son parti dans les rangs du gouvernement, à condition qu’il s’agisse d’une « cohabitation » avec la macronie et que LR « ne se dilue pas » dans le camp présidentiel.

« Les Républicains sont prêts à gouverner, à une condition : c’est que ce soit un gouvernement que j’appellerai de cohabitation avec la macronie », a précisé Bruno Retailleau sur CNews.

Une condition de cohabitation

Le sénateur de Vendée insiste sur la nécessité de préserver l’identité politique de sa famille. Selon lui, tout accord avec l’exécutif devrait reposer sur un partage clair des responsabilités, sans que LR perde son autonomie ni son orientation programmatique. Cette position vise à distinguer une participation gouvernementale pleine et entière d’un simple ralliement au président.

Bruno Retailleau, élu à la tête du parti en 2022, revendique une ligne ferme face aux décisions de l’Élysée, tout en laissant ouverte la porte à des alliances si elles servent les intérêts des Français. Il pose cependant comme préalable que Les Républicains restent maîtres de leurs choix et ne soient pas absorbés par la majorité présidentielle.



Kommentare
Liebe Leser,

vielen Dank, dass Sie unseren Kommentar-Bereich nutzen.

Bitte verzichten Sie auf Unterstellungen, Schimpfworte, aggressive Formulierungen und Werbe-Links. Solche Kommentare werden wir nicht veröffentlichen. Dies umfasst ebenso abschweifende Kommentare, die keinen konkreten Bezug zum jeweiligen Artikel haben. Viele Kommentare waren bisher schon anregend und auf die Themen bezogen. Wir bitten Sie um eine Qualität, die den Artikeln entspricht, so haben wir alle etwas davon.

Da wir die Verantwortung für jeden veröffentlichten Kommentar tragen, geben wir Kommentare erst nach einer Prüfung frei. Je nach Aufkommen kann es deswegen zu zeitlichen Verzögerungen kommen.


Ihre Epoch Times - Redaktion